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Toutefois à propos de Zep et plus particulièrement de l'énigme du Zep en cette circonstance …



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* Dominique est facteur de vielle . Ami de longue date de Lionel- et pas qu' à demi , j'en fus témoin ! - je ne le connaissais pas . Je l'ai "découvert " le mardi soir quand nous avons fait étape …chez lui ! Belle rencontre en ce qui me concerne, il devrait y avoir des suites : je le souhaite ! Qui s'étonnera que Dominique soit aussi ami avec Patrice Rey et partant de là que Patrice ait sculpté son enseigne est comme une évidence !
Ce mardi fut vraiment un jour étonnant et l'apparition de Marie-Eve Chalendard dans la nuit de Chaspinhac fut miraculeuse … même à deux pas du Puy en Velay la chose demeure malgré tout extraordinaire ! …et Marie-Eve encore bien davantage ! Me manque quelques infos pour bien parler d'elle et des photos pour bien la montrer…entre autre quand elle danse ! Justement elle partait donner un cours de danse à Saint Jeures ce
mardi soir là et nous étions en carafàpied - avec quartier de lune grave sur le a ! -à Chaspi, au pied de sa maison, sans le savoir , et justement son trajet la faisait passer par
Saint Etienne -Lardeyrol …ou justement était notre véhicule …le fourgon justement de la Cie Latituds : mazette ! Et c'est ainsi qu'avec Marie-Eve, deux garous étaient comme embarqué en" technicolor" (sic) sur un presque -Traineau par une Rose polychrome, direction un bal des vampires où l'on ne pourrait sucer, même en abondance, que du rouge de chez Syrah la Grenache. Alors, de la sorte, par la Princesse Trifol, deux fous en un drôle d'équipage, furent presque transportés au Paradis, en tout cas sérieusement rapproché de chez Dominique le facteur de vielle que je ne connaissais pas encore ( sic ) . Décidément tout se tient dans cette histoire : une sacrée organisation avec le Saint-Esprit dans l'équipe !
Comme on le voit nos empreintes sont faites de pas et de pierres . Aussi est ce bien peu vraisemblable que nous ayons ce soir là, sans même nous en apercevoir, marché ne serait ce que quelques instants sur la chaussée de Géants lunaire ! C'est pourtant pas que la Lune manquait d'attrait , car cette "américaine moucharde" n'a pas encore était vidée de son pipeau comme le redoutait Ferré et conserve tant de charme… entre autre quand sous elle les villes s'étalent pour être si belles la nuit, quand on en fait le tour. Mais voilà, on ne revient jamais de ses vieilles marottes et moi bien plus que quiconque je n'en reviens jamais de la Lune …même si je n'ai dû me satisfaire jusque là que d'Auverlune et du revers des mondes qui s'étale entre le si près-si loin des êtres, des lieux et des choses…
En fin d'après-midi , alors que nous progressions vers Chaspinhac , c'est le doigt minéral de la crête qui porte en alliance l'ancien hameau ruiné de Saint Quentin qui nous avait désigné en contrebas la vallée de la Loire et les premiers faubourgs du Puy à hauteur de Chadrac . Le jour, qu'en cette saison la neige aide à durer un peu plus longtemps, bascula d'un seul coup avant que nous arrivions au village - ce qui somme toute est assez dans nos habitudes! - et la ville nous apparue comme ça , comme on la voit sur cette photo, et comme je le dis plus haut nous en faisions le tour, au moins sur un cadran . Un cadran de ville éclairé par un quartier de lune avec la complicité de la neige …et l'éclairage publique prends dans ce ciel urbain les allures d'une protéïforme constellation d'astéroïdes habités .
" La Marion" , ravie un jour par les extraterrestres aux estives des Herbeaux - on peut penser que le hameau se trouve dans le Mézenc ?- n'a pas dû avoir d'autre vision que moi je pense au cours du
voyage " spéciale " qui lui fut proposé cette nuit là dans le ciel ponôt et qui devait la mener jusqu'à Loudes . Force est de constater que bien des questions me reste à poser à Marion et au Toine pour être totalement de leur Monde, à revoir donc au plus tôt " la petite république "…aux Fours à Chaux à nouveau, par exemple ?
Sur Auverlune à cette époque les martiens ressemblaient à des petits Princes qui ne pensaient qu'à se jucher sur tout ce qui se présentait pour raconter des histoires aux autres qui ne pensaient
qu'à les écouter …longtemps après le dernier des petits
sur les traces des Dodos disparus de l' île de la Réunion et des méninges tristes…on dit aussi qu'il passerait autour du 15 Aout à Pougnes- Hérisson . C'est où ça ?…on dit aussi qu'il serait passé cet hiver une nuit à Saint-Flour de Mercoïre, qu'il aurait glissé sa main sous la porte et qu'il aurait même été blessé …et même que c'est vrai puisque moi je l'ai vu, de mes yeux vu et de ma bouche embrassé ce Jaulin qu' on aime tant et depuis si longtemps ! Sacré Merlicoquet comme c'est
bien quand nos chemins se croisent …
A 2 pas de St Flour de Mercoïre, la baraque du col de Bel-Air; encore à 2 pas du col le petit musée de …………… et les " outils" de la Passion…bien plus loin, à Pougne-Hérisson (79 ), en Poitou, là même où se trouve le Nombril du Monde dans le jardins des histoires, des proches de Yannick Jaulin : " Faut y croire pour y voir ! "
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Que je sois un piètre géographe à l'ancienne, passe encore, mais que je me trompe à ce point là de Planète ?… Voilà pourtant où je vais chaque fois que je marche…
…me resteraient si je devais m'en consoler, les paroles de Maître Jean, qui mieux , comme il l'indique, me remplissent de joie à en rire comme à en pleurer : "Ils me font rigoler quand ils disent que je suis un poète .Triste défaite des corps qui ont perdu le goût de vivre parce qu'ils ont perdu la façon . C'est vrai que c'est presque toujours péjoratif, mais ils en seraient eux-mêmes des poètes, c'est à dire de vrais hommes, s'ils avaient encore la vieille façon amoureuse, la naturelle façon amoureuse de faire la connaissance des choses . Je vais à pied, et du temps que je fais un pas … " . Ne devrais-je pas me nourrir de Montaigne quand il prétend " que mon esprit ne va que si mes jambes s'agitent " et qu'à ce moment là je me trouve retourner à un : " Ici ( où) je suis
chez moi; où nous sommes chez nous, ne faisant pas de différence entre seulement moi et enfin l'homme .Tout est à notre taille. Il n'y a pas de grandeur que je ne puisse égaler. La solitude me permet de connaître le grondement énorme de ma vie. Voir est un délice; entendre, un étonnement voluptueux; vivre une qualité . "
Jean Giono : Rondeur des jours /Provence et Le poids du ciel .
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Aire privilégiée des Arts du Chemin version Colportage, manque Saint Clément et la ligne de partage . ( IGN 28360Est ) .
Un jour Ici, une Petite Fabrique AdC ?
Trouvé sur Internet :
DANS CETTE ENCEINTE, L’OMBRE PARLE L’Ère du Tchier de Borée est une sorte de grande meule de l’univers qui regarde à la fois en arrière et en avant. Elle symbolise l’analogie universelle qui régit en sens inverse les états multiples de l’être. C’est un labyrinthe initiatique et divinatoire par lequel sont restituées les cultures traditionnelles dans leur lieu premier, la nature. Hiéroglyphé, le patrimoine historique et mythologique des hautes terres des Boutières*. Le Tchier de Borée renoue avec une fonction civilisatrice de connaissance, d’alliance et de partage éclairée par une dimension imaginaire d’utopie et d’enchantement. Ce musée hermétique – clairière poétique, philosophique et alchimique – met en oeuvre une règle d’or de l’architecture naturelle suivant les principes du tantrisme, du taoïsme, du pythagorisme et de la Cabale servant à la réalisation des lois de l’harmonie universelle et contribuant à l’accomplissement du Grand OEuvre. * Philostrate l’Ancien nous dit que sous Néron, on voyait chez les Botari Vel Botrü (le peuple des Boutières) des pierres érigées par Ogmi, Dieu de l’éloquence, des arts et de l’écriture, et couverte d’inscriptions que ne pouvaient traduire les prêtres de la contrée, mais qu’Apollonius de Tyane déchiffra parfaitement. Ogmi éleva des pierres au Soleil, lesquelles pierres comportaient dans leur ordonnancement des inscriptions hiéroglyphiques, dont l’une signalait l’alliance des hommes avec Borée…
LA FLEUR DU CIEL Hiéroglyphée*, une Sphinge arrête le promeneur et lui propose de réfléchir sur l’énigme de la vie. De surprise en surprise, la promenade lui offre le don d’un itinéraire nouveau où des charmes sacrés d’anciennetés diverses sont retrouvés. Des secrets ensevelis depuis des siècles lui sont révélés. Les pierres dressées foisonnent d’allégories, de rapprochements et d’allusions. Celui qui pénètre dans le dédale de L’Ère du Tchier de Borée se trouve brusquement confronté à un système de références chaotiques au réseau chatoyant et toujours changeant de noms et de symboles, qui masque de mystérieuses substances qui peuvent signifier tout autre chose que ce qu’elles ont l’air de dire…
* À l’Orient, la pierre dressée numéro 11, la fameuse Table d’Émeraude : le monument central de l’imagination hermétique que l’on attribue à Hermès, le messager des Dieux. La science de l’herménotique est l’analyse des textes tenant compte d’une quadruple perspective : naturelle, surnaturelle, divine et humaine.
LE HUITIÈME ENDROIT* La grande tradition constitue un monde perdu que L’Ère du Tchier de Borée essaye de restituer. Elle rétablit ce traditionalisme dont notre sol, nos langues, nos monuments… sont encore pénétrés. Elle cherche à renouveler l’art, la philosophie et l’éthique et à inspirer les plus beaux poèmes issus du fond même de la vie, de l’humanité. Le Tchier de Borée est comme un axe du monde où le soleil pénètre à l’époque des équinoxes et dont la ligne représente l’axe de vie. Il inonde de sa force vitale le génie du lieu. * Ce terme fait allusion à la division en huit portes, au jour, à l’année, aux poids et mesures inhérents à la tradition spirituelle européenne.