

" réfugié " dans un coin où je me plait à lire …assis . Il y a 2 ou 3 jours pendant que je me livrais à l'exercice j'en ai lu, ou plus précisément relu, quelques pages . J'adore cette écriture et ce qu'elle raconte et si ce n' était l'endroit- et l'heure- je pourrais ainsi le qualifier de livre de chevet .
C'est une édition avec des rabats de couverture dont je me sers d'habitude pour marquer mes pages . Ce matin là pour une raison qui m'échappe j'ai tendu le bras pour me saisir d'un signet égaré parmi d'autres bouquins qui tiennent compagnie à celui de De Luca. J'ai refermé machinalement et ce n'est que le lendemain que, rouvrant le livre pour reprendre ma lecture, j'ai fait le rapprochement entre ce que portait le signet et la phrase où je m'étais arrêté la veille …
…Peut-on encore à la suite de ça

Sur cette une de couverture, ce type de dos, avec son galurin et ses deux valoches ce pourrait-être moi, ailleurs, un autre cliché doit en garder la trace… et cette image de " l'oiselle au balcon" dont jusque là, pensant l'avoir inventé, j'étais si fier, peut-être n'ai-je fait qu'effrontément l'emprunter à cette photo d'une rue de Naples… où d'ailleurs ?
